Comme Dell, BlackBerry envisage t’il sortir de la bourse ?: ce qu’on peut observer et solliciter



Dans la Maison Blackberry, ce n’est la grande sérénité de 2008 où la compagnie affichait 84 milliards de dollars US de capitalisation boursière contre 4.8 milliards en août 2013.
Qu’est ce qui ne va pas ?, observons ensemble les évènements chez le canadien.
Le groupe a initié un mouvement de réduction des effectifs, jusqu’ici payant puisque  le plan d'économies a permis de ramener
sa perte à 84 millions de dollars en juin 2013, contre 518 millions, il y’a un an.
Les ventes des nouveaux smartphones lancés dès janvier 2013 (Z10, Q10) et Q5 par la suite, ne font pas rêver par rapport à la concurrence, car tournant au tour de 10 millions d’unités écoulées en début août 2013.
Comme ventes, on voit succinctement que c’est insuffisant pour envisager des projets sérieux, désintéresser les investisseurs et attirer les marchés. En effet depuis tout au moins début 2013, les marchés ce sont montrés progressivement très frileux, s’interrogeant à chaque fois sur l’avenir de Blackberry.
Côté produits et services on peut constater que les smartphones du canadien n’ont rien à envier aux fulgurant Samsung Galaxy s4 ou l’iPhone 5, mais les ventes ne suivent pas. S’acheter un Blackberry serait-il devenu vulgaire au point de ne plus faire rêver ? Oui et non, car si en Europe, USA, Canada, ce n’est plus la grande affluence, du côté de l’Asie (Indonésie, Malaisie, Taiwan, Philippines et autres), le canadien semble séduire. Logiquement donc les investisseurs et les analystes devraient tempérer sur leurs différentes ardeurs et projections.    
La compagnie a décidé de se lancer dans le marché des applications en s’appuyant entre autres à Blackberry Messenger, disponible désormais pour iOS et Android. Une bonne approche qui rentre dans les plans de renaissance, malgré la concurrence très rude dans ce domaine.
Au vue de ses réalités, Connectikpeople pense que c’est un groupe qui a besoin de sérénité pour mieux organiser et mener à bien sa restructuration. Par conséquent, s’éloigner des incertitudes et des pressions de la bourse peut aider le Canadien à mieux se repenser et se projeter dans le futur.  Pour le moment rien n’est confirmé, mais c’est une voie parmi tant d’autres.     

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