Lumière sur les limites problématiques de microsoft Word au délà de 100 pages
En effet,jusqu'en 2006, le logiciel Microsoft Word a retenu une autre manière de stocker la mise en forme: les données
(texte et images) sont mises en brut (sans mise en forme) dans le
document, et la mise en forme est définie dans une partie du document
appelée « saut de section » (section break). Le saut de section,
hormis le fait de marquer un changement de mise en page (saut de
colonne, saut de page), est une zone invisible contenant des pointeurs
attribuant un formatage à une partie de la section. Cette solution de
stockage brut des données a été historiquement adoptée à une époque où
peu d'autres solutions existaient (au début des années 1980). C'était
une approche couramment adoptée pour beaucoup d'applications et liée
entre autres au niveau faible de standards de stockage. Cependant,
l'expérience a montré que cette approche se révèle très lourde et source
de problèmes (corruption de documents) pour les documents ayant environ
100 pages et plus. Si Microsoft
a tenté de conserver son modèle et de le faire évoluer petit à petit
pour éviter de tout reprendre à la base, ce dernier est arrivé à ses
limites. Pour son édition de 2007, Microsoft a adopté un nouveau format
propriétaire, Open XML.BY TAATJENE