Usurpation GPS : Enjeux, Défis économiques et sécuritaires dès 2013
Sans doute que la technologie de Drone a plus que jamais révolutionné l’espionnage
et la guerre contre le terrorisme. Cependant les exemples ci-dessous invitent à
plus de vigilance.
En juillet 2012 un groupe d’étudiants a réussi à pirater un drone de surveillance du gouvernement américain.
En fait une équipe de l'université de Texas à Austin en collaboration avec le ministère de la Sécurité intérieure, l’expérience a utilisé une méthode appelée usurpation de GPS. Pour environ 1.000 dollars de matériel, les chercheurs ont réussi à « usurper » un récepteur GPS, à envoyer de faux signaux et à prendre le contrôle du drone. Pour montrer à quel point un drone détourné peut être dangereux, ils lui ont presque fait percuter le sol avant qu’un pilote de sécurité armé d’une radiocommande intervienne pour empêcher le drone de s’écraser.
En décembre 2011, l’Iran a réussi à capturer l’avion de reconnaissance le plus sophistiqué de l’armée américaine, un RQ-170 Sentinel, via le brouillage signaux de navigation GPS.
La menace dans ces cas comme d’autres se situe à un niveau plus sophistiqué et dangereux, car un drone détourné peut être manipulé pour lancer des attaques ou dérober les informations collectées.
Toutefois, l’inquiétude porte essentiellement sur les cas où la technologie tomberait entre de mauvaises mains. Sur le plan économique, l’Administration fédérale de l’aviation (FAA) des États-Unis a décidé récemment d’ouvrir l’espace aérien américain aux drones commerciaux et opérés par le gouvernement d’ici trois ans, le risque de « repossession » devient donc la cause d’une préoccupation encore plus vive.
En juillet 2012 un groupe d’étudiants a réussi à pirater un drone de surveillance du gouvernement américain.
En fait une équipe de l'université de Texas à Austin en collaboration avec le ministère de la Sécurité intérieure, l’expérience a utilisé une méthode appelée usurpation de GPS. Pour environ 1.000 dollars de matériel, les chercheurs ont réussi à « usurper » un récepteur GPS, à envoyer de faux signaux et à prendre le contrôle du drone. Pour montrer à quel point un drone détourné peut être dangereux, ils lui ont presque fait percuter le sol avant qu’un pilote de sécurité armé d’une radiocommande intervienne pour empêcher le drone de s’écraser.
En décembre 2011, l’Iran a réussi à capturer l’avion de reconnaissance le plus sophistiqué de l’armée américaine, un RQ-170 Sentinel, via le brouillage signaux de navigation GPS.
La menace dans ces cas comme d’autres se situe à un niveau plus sophistiqué et dangereux, car un drone détourné peut être manipulé pour lancer des attaques ou dérober les informations collectées.
Toutefois, l’inquiétude porte essentiellement sur les cas où la technologie tomberait entre de mauvaises mains. Sur le plan économique, l’Administration fédérale de l’aviation (FAA) des États-Unis a décidé récemment d’ouvrir l’espace aérien américain aux drones commerciaux et opérés par le gouvernement d’ici trois ans, le risque de « repossession » devient donc la cause d’une préoccupation encore plus vive.
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