Identifications via battements de cœur : Réalités, Défis et Opportunités en octobre 2012


Jusqu’ici on avait parlé des processus d’identification via empreintes digitales, Iris voir à l’aide du subconscient.
Mais début octobre 2012, on assiste presqu’a une révolution technologique.
En effet les ingénieurs de l’université de Toronto ont mis au point un nouveau système de sécurité qui identifie les utilisateurs en mesurant précisément leur rythme cardiaque. C’est à dire que en créant un graphique d’électrocardiogramme (ECG), les chercheurs sont capables de mesurer le rythme cardiaque propre à une personne, d’entrer cet identifiant dans un téléphone ou une tablette, et par conséquent de verrouiller l’équipement pour les personnes non autorisées.
Côté médical, jusqu’ici, les médecins examinent le schéma du rythme cardiaque en plaçant des capteurs sur la poitrine du patient.
 Les chercheurs ont donc amélioré ce processus en développant des capteurs minces et bon marché qui peuvent mesurer l’ECG du bout des doigts d’une personne par exemple.
Ces capteurs tactiles permettent donc d’intégrer la mesure du battement cardiaque dans des équipements et de l’utiliser comme code d’authentification.
Selon LiveScience, les ingénieurs ont découvert que la forme exacte des pics d’ECG diffère chez chacun. Et comme une empreinte digitale, le rythme cardiaque a une forme unique qui reste inchangée au fil du temps, même en cas d’excitation ou d’exercice.
Côté business modèle, chez Bionym, l’entreprise qui commercialise la méthode, recommande d’utiliser ce système en parallèle avec d’autres modes de contrôle d’identité, comme l’analyse des empreintes digitales ou les codes alphanumériques.

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