Business des ‘’Like’’ ou ‘’j’aime’’ sur Facebook : Enjeux sur la Fermeture de LikeUB.

‘’Aime 100 pages et tu obtiendras 100 j'aime sur ta propre page’’. C’est sur cette architecture que fonctionne le business des boutons ‘’j’aime sur Facebook’’. Le but ici n’est donc pas de tisser les communautés pour aboutir aux engagements. Mais ses sociétés spécialisées dans la gestion des pages, des marques ou compagnies prônent les interactions. Une telle approche est bonne mais pas essentielle, car l’efficacité d’une présence sur internet ou sur les réseaux sociaux se repose sur  la mise en évidence et le

développement des centres d’intérêt des internautes.

Facebook

Facebook qui doit tenir ses charges annuelles d’environ $ 1 Milliards de Dollars et payer les dividendes, prend au sérieux toutes  les approches commerciales qui se greffent sur son écosystème. Il doit absolument vendre ses produits publicitaires et si nécessaire à tout les prix.

TENSIONS

Dans ce climat, le 27 décembre 2012, LikeUb lancé dès début 2012  et qui proposait aux gestionnaires de pages Facebook d'acheter des ‘’ J'aime ‘’ sur leur page, ainsi qu'un système d'échange de visibilité,  a annoncé sa fermeture. Motif :
« Les bureaux d'avocats de Facebook sont entrés en contact avec nous. Ils ont réclamé la fermeture immédiate et sans conditions de LikeUb sous peine de poursuite judiciaire, ainsi que l'interdiction à vie d'utiliser Facebook personnellement », déclarent LikeUp dans un post envoyé aux utilisateurs du service et donc un exemplaire se trouve sur 6buzz.com . On apprend également dans  ce courrier que « Ce n'est pas la première fois que le réseau social tente de nous bloquer et nous avons su par le passé contourner les sanctions unilatérales. Mais cette fois est la dernière ».

ENJEUX
Cette réaction de Facebook, montre donc sa détermination de proteger ses outils publicitaires. Et  semble par ricochet à encourager les interactions réelles contre les simulées sur son réseau.

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