L’antivirus de Microsoft pas très bon pour votre sécurité : Entre Menaces et Réalités
Globalement tous les antivirus ou anti malwares qui
ont pour vocation de protéger des postes d’ordinateurs, ou appareils mobile ont
une faiblesse de conception. C'est-à-dire conçus pour protéger uniquement le terminal,
leur système de sécurité est facilement contournable car l’attaquant connait le
système d’exploitation.
Par conséquent lorsqu’il s’agit de mener une vraie
attaque professionnelle il y a aucun obstacle à surmonter. On contourne l’antivirus
et on le rend inactif. En revanche ils sont utiles pour les attaques déjà
connues et répertoriées.
Ceci étant, parlons maintenant des travaux mensuels du cabinet AV Test :
il a effectué un ensemble de test et de vérifications sur près 25 programmes de sécurité. Réalisés en
décembre 2012 et en janvier 2013, ces tests
déclassent Microsoft Security essentials qui perd par conséquent sa certification.
Selon ces tests réalités sur Windows 7,Microsoft Security essentials a reçu la note de 1,5/6 et ne protégerait l'utilisateur que contre 78% des attaques contre 92% en moyenne chez les autres éditeurs, pour des performances modestes lorsqu’il s’agit de détecter les malwares avec un taux de 90% contre 97% en moyenne chez les concurrents.
Selon ces tests réalités sur Windows 7,Microsoft Security essentials a reçu la note de 1,5/6 et ne protégerait l'utilisateur que contre 78% des attaques contre 92% en moyenne chez les autres éditeurs, pour des performances modestes lorsqu’il s’agit de détecter les malwares avec un taux de 90% contre 97% en moyenne chez les concurrents.
Du côté Microsoft, on se défend
comme on peut en essayant de ridiculiser les travaux pour affirmer que: ‘’ Notre
analyse montre que 0,0033% de nos clients de Microsoft Security Essentials et
de Microsoft Forefront Endpoint Protection ont été affectés par des
échantillons de malwares non détectés au travers de nos tests ‘’. ‘’Difficile
pour une organisation indépendante évaluant les malwares de mettre en œuvre des
tests concordant avec les conditions réelles dans lesquelles se trouvent les
clients ‘’.
Une réaction qui démontre une guerre d’approche, mais également un aveu non
dévoilé de la part de Microsoft.