Un gel vaginal contre la transmission du SIDA : enjeux et réalités.
Entre les antirétroviraux
très lourds et dangereux, des vaccins complexes, l’usage des préservatifs et
les sujets non vulnérables au virus, le SIDA reste plus ou un mystère et suscite
le développement de plusieurs approches aussi géniales que du pure business. L’actualité
cette fois-ci nous vient du Missouri à l’université Washington, à Saint-Louis. Nous
somme là aux États-Unis.
Des
chercheurs américains ont pu montrer que la protéine du venin d'abeille,
associée à des acides et d'autres toxines, à la capacité
d'attaquer directement
une partie essentielle de la structure du virus.
C'est-à-dire
qu’une étude menée a
révélé que le venin d’abeille associé à un cocktail d’acides, de dopamine et bien
d’autres toxines peuvent détruire en toute sécurité le virus du sida.
Cette approche pourrait donc aboutir entre autres à un
gel vaginal qui empêcherait la transmission du SIDA.
Notons
qu’une protéine appelée mélittine provoquant l’inflammation et la douleur
associées aux piqûres d’abeille, possède des vertus anti-microbiennes et
anti-fongiques.