Le concept de Big Data fait polémique : ce qu’on peut retenir.
Avec
l’explosion des données dès 2006, date qui correspond à une montée en puissance
des réseaux sociaux tel Facebook, Youtube, Myspace, le stockage dans les nuages…,
il se posa alors la question
du ‘’Big’’, c'est-à-dire le gros volume à traiter. Heureusement l’arrivée des technologies comme Hadoop et Hbase a résolue entièrement le problème. Mais reste celui du ‘’Data’’, c'est-à-dire la donnée elle-même : quoi en faire ?
du ‘’Big’’, c'est-à-dire le gros volume à traiter. Heureusement l’arrivée des technologies comme Hadoop et Hbase a résolue entièrement le problème. Mais reste celui du ‘’Data’’, c'est-à-dire la donnée elle-même : quoi en faire ?
Cependant
chez certains éditeurs numérique notamment EMC, SAP, Oracle… et bien d’autres,
il y’a un mélange volontaire du genre, certainement pour des raisons de
marketing et du business. Par conséquent il reste accroché au concept du ‘’BigData’’,
qui n’existe plus.
C’est
ce à quoi s’insurge Harper Reed, le directeur technologique de la campagne
2012 d’Obama.
« Le problème
avec le big data c’est le ‘big’, qui est une connerie. Cet aspect est déjà
résolu » estime ainsi Harper Reed, qui s’exprimait à l’occasion du CeBit
Australie. « Nous avons traité le big et devrions nous préoccuper de la donnée.
Alors pourquoi ne pas seulement dire data » précise-t-il !
« Je ne veux plus entendre parler de big data […] J’en
ai assez de tous ces trucs marketing. Je veux voir Oracle, EMC, et toutes les
autres entreprises arriver et dire « voici un produit qui vous donnera de
grandes réponses »
Enfin Harper Reed conclu en disant que nombre d’entreprises
qui envisagent d’investir dans le ‘’big data’’ n’ont probablement, et en
réalité, pas assez de données pour entrer dans le cadre d’un projet big data.
Par conséquent en s'engageant sur cette voie, elles
risquent de se retrouver avec des architectures surdimensionnées par rapport à
leurs besoins. Ce qui veut dire pas de ROI (retour sur investissement).