Centrales au gaz naturel : ce que vaut le Français Alstom en Octobre 2013.

Ils ne sont pas assez nombreux des groupes internationaux à faire en même temps dans les infrastructures de production et de transmission d'électricité, ainsi que dans celles du transport ferroviaire. De l’Arabie Saoudite via l’Europe en passant le Canada et les USA, pour ne que citer ces régions, Connectikpeople constate qu’Alstom tire son épingle du jeu. En effet, qu’en il ne  s’agit pas de construire un TGV, construire ou installer les turbines, voir équiper et assurer la maintenance d’une centrale électrique, au gaz, Alstom noue progressivement un ensemble de partenariat susceptible de l’accompagner dans son expansion international et le développement de son portfolio.

Aujourd’hui, Connectikpeople a pu constater qu’ Alstom a remporté deux contrats de service à long terme (Long Term Service Agreements, LTSA) pour trois centrales au gaz naturel situées aux États-Unis et au Canada. Le premier contrat est un contrat de service à long terme pour la centrale à cycle combiné d’EquiPower à Milford, dans le Connecticut. Alstom a également été choisi pour réaliser un contrat de service à long terme avec TransAlta au Canada pour les centrales de cogénération de Sarna en Ontario et de Poplar Creek en Alberta.

Avec ces deux nouveaux contrats, Alstom franchi une étape décisive en Amérique du Nord. A la clef, environ 1,2 milliard de dollars (900 millions d’euros).

Globalement le groupe se porte bien malgré une dette encore colossale mais soutenable.

Connectikpeople peut rappeler qu’Alstom emploie 93 000 personnes dans une centaine de pays, a réalisé un chiffre d'affaires de plus de 20 milliards d'euros et enregistré pour près de 24 milliards d’euros de commandes en 2012/13.