Là où va se jouer l’avenir du groupe Orange : entre plan d’économies, marchés émergents et segment mobilité.



Avec une dette colossale, des effectifs pléthoriques en France (103,000 employés), un marché européen de plus en plus complexe, la division entreprise qui enregistre une chute de revenues de 7.2% pour le troisième trimestre 2013, des vrais et radicales reformes s’imposent au groupe français
de télécommunications.
En janvier 2013, le groupe a initié son plan d'économies orienté baisse des effectifs, ce qui est salutaire. Dans cette dynamique, on aura de nombreux départs à la retraite non remplacés. C'est-à-dire qu’environ 41 000 salariés devraient quitter l’entreprise en 2014. C’est une goutte d’eau mais ces mesures sont cruciales pour le développement du groupe.    
Pour le troisième trimestre fiscal 2013, le groupe a vu ses revenues augmentés de 4.1%, en Afrique et au Moyen Orient une tendance à la hausse, tandis qu’en France les mauvaises nouvelles s’accumulent avec des revenues en moins : 4.9%, et 2.7% pour le reste de l’Europe. Pour  son développement le groupe doit sans plus attendre concentrer ses efforts  en Afrique et au Moyen Orient où il génère du cash frais en temps réel. Une réforme stratégique de la division entreprises s’impose également car, le groupe n’a jamais su aller au-delà de son pré-carré.

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