Conquête spatiale : menaces, acteurs clés, sociétés, défis, enjeux, technologies, influence, et chiffres
Il a fallu
la technologie des missiles (UV) d’Hitler pour qu’on puisse parler de
satellites, de GPS, de l’ISS (station spatiale internationale) bref de conquête
spatiale dans un monde moderne tourné vers la mobilité, les masses de données,
les objets et appareil intelligents.
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bientôt Retinknow®, est l’unique référence objective lorsqu’il s’agit de la
transformation digitale dans le monde. Nous saisissons le dévoilement du vaisseau spatial Dragon V2 de la société
SpaceX pour vous plonger dans un univers infini d’intrigues, de technologies, d’enjeux
de chiffres, etc., lorsqu’il s’agit de la Conquête
spatiale.
C’est un cercle fermé initié par le premier engin spatial Sputnik1 d’origine Russe. Les Russes, les USA sont des véritables
acteurs de cette industrie. A leur côté et à des degrés divers, on note les solides efforts de l’Europe (ESA),
la chine, l’Inde, la Corée du Nord et le Japon.
Après le dernier vol de la navette spatiale américaine (NASA) en juillet
2011, pour arriver dans l’espace, il faut passer par des vaisseaux Soyouz
russes pour acheminer leurs astronautes,
du matériel à l'ISS au coût de quelque 70 millions de dollars le siège.
Le lancement des satellites de communications, militaires, d’observation,
d’écoutes est progressivement maitrisé par un ensemble de sociétés privées,
mais les Russes restent incontournables en matière de compétitivité et autres.
Les enjeux sont donc de l’ordre stratégique, militaires, économiques,
énergétiques, et de survie.
Les USA via leur agence la NASA restent concentrés pour le moment vers l’atterrissage
sur Mars. La capsule s’appelle
Orion pour transporter des astronautes
vers un astéroïde et Mars.
Au regard
des défis liés à ce projet, les USA ont décidé de décentraliser un ensemble de
projets et de tâches avec le secteur privé.
Le vaisseau Dragon V2 de la société SpaceX, du
visionnaire milliardaire Elon Musk , dévoilé le 29 mai 2014, rentre dans ce
programme. Le Dragon V2, de couleur blanche, a une forme en boule de gomme,
comme le Dragon 1, mais plus élancée. Le Dragon 1 fut le premier vaisseau privé
en 2012 à s'amarrer à l'ISS pour y livrer du fret, effectuant
ensuite trois missions à l'avant-poste orbital.
Avec Le Dragon V2, les attendes et annonces
sont séduisantes : se poser partout sur la Terre
avec la précision d'un hélicoptère ; n'utilisera pas de parachutes,
sauf en cas de dysfonctionnement des rétrofusées, pourra être réutilisé très rapidement
permettant d'importantes économies, ainsi de suite.
Globalement,
SpaceX est l'une des quatre sociétés sélectionnées par la NASA avec Boeing,
Sierra Nevada et Blue Origin pour mettre au point un vaisseau
capable de transporter des astronautes
à l'ISS dans le cadre d'un partenariat entre le secteur privé
et public.
En dehors
des enjeux économiques, militaires, scientifiques, de survie et de
communication, avec l’avènement des
satellites de communications, militaires, d’observation, d’écoutes ; la
conquête spatiale tourne également autour de l’énergie.
Arriver à
exploiter par exemple l’Hélium 3 depuis la lune pourrait réduire d’ 1 million
le prix d’un kilowatt d’électricité. Deux sociétés respectivement russes et
américaine travaillent sur ce projet et les travaux sont promoteurs.
Les menaces
restent sans doute des millions de débris qui envahissent progressivement l’espace
à des orbites divers.