Modèle économique des applications mobiles de messageries : enjeux, défis et acteurs clés.



Les applications mobiles de messageries rentrent dans ce que l’on appelle chez Connectikpeople.co, bientôt Retinknow®, les 6 reliquaires (big data et l’analytique, les apps mobiles, l’Internet des Objets, les smart devices et objects, le cloud computing et les capteurs).
C’est de quoi il est question désormais dans l’univers numérique. Lorsqu’il s’agit des applications mobiles de messageries, le monde est de plus en plus fasciné par ce que fait le chinois WeChat, Weixin (à l’intérieur de la chine), le Japonais Line, le Coréen Kakao Talk, l’américain Facebook Messenger et WhatsApp, sans oublier le japonais Viber et le canadien BlackberryMessenger.
Toutes ces applications ont de centaines de millions d’utilisateurs chacune et WhatsApp récemment racheté par Facebook  tire la course en tête avec plus 500 millions d’utilisateurs.
La particularité de  WhatsApp est qu’il est très populaire à travers le monde, mais ne domine aucun marché. Ce qu’il veut dire qu’elle souffre d’un problème fragmentation, difficile à monétiser, contrairement à ses congénères le chinois WeChat, le Japonais Line, et le Coréen Kakao Talk.
Respectivement championnes dans leurs pays et marchés, ces applications ont pu développer et établir un modèle économique efficace, loin des publicités
traditionnelles.
Le principe est simple : rejoindre les utilisateurs là où ils sont avec leurs envies, besoins plaisirs et préoccupations du quotidien. 

Ainsi, le chinois WeChat, a capturé près de $300 million de revenus en 2013 et Line plus de $200 millions par la  vente des jeux, les émoticons, et le mobile commerce entre autres. WhatsApp expérimente progressivement l’approche.
Le géant du e-commerce Rakuten, va déployer progressivement la même approche sur Viber. Snapchat qui refusé l’offre de $6 milliards environ de rachat de Facbook , servira de passerelle pour le chinois Tencent de pénétrer efficacement le marché américain.

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