Évolution industrie des monnaies virtuelles (cryptho-currencies) à travers le monde : acteurs, réalités, réticences et adoptions.
En termes
d’adoptions, de régulations, d’efficacité technologiques et de popularité, nous
sommes encore à une phase très précoce du développement des monnaies virtuelles
(cryptho-currencies). Mais il y’a un réel engouement observé de la part decertains internautes, acteurs de l’industrie du numérique et de l’internet, à
vouloir occuper du terrain ou jouir de cette nouvelle tendance.
Comme
vous pouvez l’observer ici, le Bitcoin fait rêver, attire les craintes, a
montré ses limites (échec de la
plateforme d'échange MtGox, sous le régime des faillites aux Etats-Unis), et attire les investissements.
La Chine
ne veut pas entendre parler. Et pourtant une vague puissance était en émergence de ce côté-là. Par contre à Singapore, les investissements
sont de plus en plus encouragés. Ce n’est pas encore une réalité absolue aux
USA, mais le lobbying s’active pour faire avancer sérieusement les choses.
Pour
le plus récent dans ce pays, le gouverneur de l’Etat de Californie, Jerry Brown, a signé un projet de loi effaçant les principaux
obstacles à l'utilisation des monnaies
virtuelles.
Début juin 2014, la Suisse autorisait le courtage de bitcoins.
Certains hôtels situés à Las Vegas autorisent les monnaies virtuelles dans leurs casinos. Au Royaume Uni, eBay a lancé une rubrique dédiée à l'échange de monnaies virtuelles. Début juin 2014, Apple annonça qu'il autoriserait des applications dédiées au bitcoin.
virtuelles.
Début juin 2014, la Suisse autorisait le courtage de bitcoins.
Certains hôtels situés à Las Vegas autorisent les monnaies virtuelles dans leurs casinos. Au Royaume Uni, eBay a lancé une rubrique dédiée à l'échange de monnaies virtuelles. Début juin 2014, Apple annonça qu'il autoriserait des applications dédiées au bitcoin.
En France, on parle de la Maison
du Bitcoin à Paris, sans oublier l'enseigne Monoprix, qui compte accepter la
monnaie virtuelle sur son site e-comemrce d'ici fin 2014.